Antécédents |
2003 |
2010 |
Primipares |
23% |
23,2% |
Multipares sans antécédent de césarienne |
8,8% |
8,3% |
Multipares avec antécédent de césarienne |
64,4% |
64% |
Ensemble des naissances
(avec parité et antécédents de césarienne connus) |
20,2% |
20,8% |
© Association Césarine
Évolution du taux de césarienne suivant les antécédents-parité et antécédents de
césariennes (
[6] - tableau 26)
- L'influence de l'âge :
« Les taux de césariennes croissent directement avec l'âge : plus faibles pour les
moins de vingt ans (12,3 % observés), ils atteignent 27,6 % pour les femmes de plus de quarante
ans ». [12]
- Les femmes sans facteur de risque :
6 à 7% des femmes ne présentant aucun facteur de risque identifié pour un accouchement par voie basse,
et qui se présentent à terme pour un accouchement spontané, subiront une césarienne en cours de
travail [12](tableau 3, page 5).
- Les caractéristiques des maternités :
- la nature de l'établissement (privé/public) :
« Les établissements privés sous Objectif National Quantifié (OQN) pratiquent
proportionnellement un peu plus de césariennes que les établissements privés sous Dotation
Globale (DG) (respectivement 19 % et 18 %), qui en réalisent eux-mêmes davantage que les
établissements publics (17,5 %). » [12].
Selon la Fédération Hospitalière de France (FHF) : « en
2007, les établissements privés à but lucratif proposaient en moyenne un taux de césariennes de 21,5%,
alors que les établissements publics et/ou à but non lucratif proposaient en moyenne un taux de 19,6%.
Depuis 2001, c’est dans le secteur maternités des cliniques privées que la hausse du taux de césariennes
a été la plus forte : +2,6 % contre +2,0 % dans le secteur public et +1,9 % dans le secteur privé à but non
lucratif ». [14]
- le niveau des établissements :
« La fréquence des césariennes est très différente d'un établissement à l'autre, avec des
variations allant en 2001 de 3 % à plus de 53 % des accouchements. » [12]
(page 3).
Les établissements de niveau 3 réalisent en moyenne plus de césariennes car ils sont amenés à traiter
davantage de situations à risque (19,5% pour les niveaux 3 en 2001 contre environ 18% pour les niveaux 1
et 2). Toutefois, « en présence d'au moins un des facteurs de risque [antécédent de
césarienne, détresse foetale, présentation anormale du foetus, dystocie due à une anomalie pelvienne,
accouchement avant terme, diabète gestationnel, rupture prématurée des membranes, grossesse multiple,
hypertension artérielle et transfert pour accouchement ], des écarts sensibles entre les taux de césariennes
pratiquées dans les différents niveaux de maternités (10 points de plus en niveau 1 par rapport au niveau 3)
[...] ». Une explication proposée est que « lorsqu'il existe un ou
plusieurs risques, il est ainsi possible que les maternités ne disposant pas en permanence de toutes les
ressources humaines et techniques nécessaires pour faire face à l'urgence pratiquent des césariennes dites
« de sécurité » » [12] (page 4).
Ces explications sont également à mettre en rapport avec le fait que « les accouchements
ont lieu moins souvent dans des maternités de type 1 (...). On assiste donc (...) à une concentration des
accouchements dans des maternités publiques, de type 2 ou 3, et de taille de plus en plus grande
» [6] (page 29).
- la variabilité inter-régionale :
Certaines régions (Paris, Sud-est) sont
autour de 23%, d'autres (Centre, Basse et Haute-Normandie) sont plus proches de 18% [6]
(tableau 50)
- Les pratiques médicales :
L’amélioration des pratiques obstétricales et anesthésistes a permis une intervention plus sûre et donc
un recours plus récurrent à la césarienne. Néanmoins, on constate une hétérogénéité dans la pratique médicale
conduisant le CNGOF ou la HAS à produire des recommandations [13] ou des
indications [11] et [15].
- L'hétérogénité des pratiques médicales :
La FHF alerte sur « une absence totale d'évaluation des
pratiques professionnelles, chacun décidant en fonction de son " expérience " ou " impression
personnelle" » [14] avec pour conséquence une forte hétérogénéité dans la pratique médicale.
Les recommandations professionnelles ont une valeur indicative, certes, mais elles laissent « une
large place à l’appréciation médicale pour juger des risques encourus dans le contexte précis de chaque
accouchement
»[11] (page 31).
- Les préoccupations relatives à la responsabilité pour faute médicale :
la césarienne est parfois considérée comme une couverture en cas de poursuites éventuelles à l’encontre
du médecin. La Haute Autorité de Santé indique : « les pratiques professionnelles du personnel
hospitalier pourraient aussi influencer le recours à une césarienne. (...) L’évolution des pratiques
médicales fondée sur le principe de précaution pourrait contribuer à l’augmentation des césariennes
avec demande de la part des professionnels en raison de la crainte d’un potentiel accru de recours
juridiques à l’issue d’un accouchement présentant un petit risque (gros enfant, bassin un peu étroit,
enfant prématuré, jumeaux) mais qui pourrait être jugé difficile (…). Il n’existe pas cependant,
à ce jour, de donnée permettant de juger l’importance de ce fait, non quantifiable (ex. : nombre de
procédures) ».[11]
- La commodité de la programmation (pour les médecins, comme pour les mères) :
la césarienne est devenue un facteur d’organisation des naissances (optimisation des compétences et
des moyens matériels). La HAS évoque : « l’existence de césariennes
programmées par les professionnels pour des raisons organisationnelles et d’offre de soins sur
le territoire, mais il n’a pas été identifié de données pouvant apporter des informations complémentaires
sur ce point ».[11]
- L’aspect économique :
La FHF met en exergue la pratique abusive des césariennes, accentuée par la tarification à l’acte,
notamment par certains établissements privés[14] . Ce mode de naissance
implique l’intervention -et la rémunération- de toute une équipe de professionnels de santé durant
l’intervention et en post-natal, nécessite l’usage de quantités plus importantes d’anesthésiques,
de produits pharmaceutiques et de médicaments que pour une naissance par voie basse et induit plusieurs
jours d’hospitalisation pour la mère et son bébé. La hausse du nombre de césariennes à plus de 20 %
des 800 000 naissances annuelles en fait donc un véritable pan de l’économie de la naissance en France.
- La généralisation de certains actes médicaux :
Certains actes médicaux dont la pratique en France s’est généralisée depuis les années 1980
peuvent avoir des conséquences telles que la césarienne devient indispensable : déclenchement, péridurale,
décubitus dorsal, rupture artificielle de la poche des eaux, etc. Ainsi, aujourd'hui un accouchement
qui dépasse 12 heures est source de stress alors que jusqu’au début des années 1980, on considérait
comme normal qu'il s'écoule 24 heures entre les premières contractions et la naissance du bébé (selon Michel Odent).
Dans le monde
Depuis 2005, l'Organisation Mondiale de la Santé publie annuellement des
Statistiques sanitaires mondiales dans
lesquelles est mis en avant l'évolution du taux de césarienne dans le monde.
Sa base de données [16] (en anglais) établit des liens entre la naissance par césarienne
et trois critères que sont le lieu de vie, le niveau d'éducation et le niveau de richesse.
D'un pays à l'autre, les taux de césariennes varient considérablement. Citons simplement :
Des pays à "faible" taux :
- Islande : 15,31% en 2014 [17] (taux le plus faible de l'OCDE)
- Pays-Bas : 15,6% en 2010 [18]
- Finlande : 15,77% en 2014 [17]
- Suède : 16,97% en 2014 [17]
- Norvège : 16,5% en 2014 [17]
Des pays à fort taux :
- Mexique : 46% en 2014 [19]
- Colombie : 46% en 2013 [19]
- Chili : 47,06% en 2013 [17]
- Turquie : 51,13% en 2014 [17]
- Egypte : 52% en 2014 [19]
- Chine : 54,9% en 2011 [20](47% en zone urbaine, 33% en zone rurale)
- Brésil : 56% en 2012 [19] (source -
principalement dû aux taux de césariennes de convenance dans les cliniques privées, parfois proche de 80%)
- République Dominicaine : 58% en 2014 [19]
En Europe
Les taux de césariennes des pays européens sont les suivants (source OCDE[17], sauf indication contraire) :
<15% |
15%-20% |
20-25% |
25-30% |
>30% |
|
France |
20,8% |
2013 |
|
Albanie |
19,8% |
2009 |
[19] |
Allemagne |
30,8% |
2014 |
|
Autriche |
29% |
2014 |
|
Belgique |
20,7% |
2013 |
|
Bulgarie |
36% |
2013 |
[19] |
Croatie |
20% |
2014 |
[19] |
Danemark |
21,5% |
2014 |
|
Espagne |
25% |
2014 |
Variations importantes entre Hôpitaux publics et privés (source)
|
Estonie |
19,98% |
2014 |
|
Finlande |
15,77% |
2014 |
|
Hongrie |
35,67 |
2014 |
|
Irlande |
29,12% |
2014 |
|
Islande |
15,3% |
2014 |
|
Italie |
35,7% |
2014 |
|
Luxembourg |
28,83% |
2014 |
|
Montenegro |
20% |
2013 |
[19] |
Norvège |
16,5 |
2014 |
|
Pays-Bas |
15,6% |
2010 |
AAD très commun. Taux différents entre AAD et hôpitaux. |
Pologne |
35,65% |
2014 |
|
Portugal |
32,95 |
2014 |
|
République slovaque |
30,7% |
2013 |
|
République tchèque |
25,44% |
2014 |
|
Roumanie |
19% |
2004 |
[19] |
Royaume-Uni |
25% |
2014 |
|
Serbie |
29% |
2014 |
[19] |
Slovénie |
20,16% |
2013 |
|
Suède |
16,97% |
2014 |
|
Suisse |
32,5% |
2008 |
Le taux dépasse les 40% dans les hôpitaux privés (source p 2)
|
Contactez-nous si vous pouvez nous indiquer le taux de césariennes d'un autre pays
européen (avec sa source) |
|
L'OCDE, dans son "Panorama de la santé 2013" [18] rapporte:
Page 98
Si l'accouchement par césarienne est évidemment nécessaire dans certaines circonstances, ses avantages par rapport à
l'accouchement vaginal pour un accouchement normal sans complications continuent de faire débat. Dans des pays comme le Canada,
les associations professionnelles d'obstétriciens et de gynécologues encouragent désormais l'accouchement normal sans intervention
telle que la césarienne (Society of Obstetricians et Gynaecologists of Canada et al. 2008).
L'OMS propose d'utiliser le taux de césariennes comme l'un des indicateurs de
surveillance des services obstétricaux[21] :
5.2.5 Césariennes en proportion du total des naissances attendues
À cause du risque que représente un recours abusif à la césarienne, cet indicateur est
assorti à la fois d'un niveau minimum et d'un niveau maximum acceptables. Si le niveau minimum
n'est pas atteint, c'est-à-dire si moins de 5 % des accouchements sont faits par césarienne, on
pourra en conclure que les femmes qui auraient besoin d'une césarienne ne bénéficient pas de
cette intervention. La priorité sera alors d'améliorer l'offre et l'exécution des césariennes
faites à bon escient.
Si le niveau maximum de césariennes est dépassé, c'est-à-dire si plus de 15 % des
accouchements se font par césarienne, on pourra en conclure que certaines césariennes sont
faites inutilement. Il faudra alors encourager une surveillance au niveau local et dans les
services pour empêcher l'exécution de césariennes inutiles.
Si les résultats obtenus pour cet indicateur se situent dans les limites acceptables,
c'est-à-dire entre 5 et 15 % du total des naissances attendues, on pourra en conclure qu'il est
possible que la plupart des femmes qui ont besoin d'une césarienne en bénéficient. Comme on l'a
vu dans les chapitres précédents, cet indicateur ne permet pas de savoir si les césariennes
pratiquées le sont à bon escient. Aussi, une surveillance continue est importante pour que les
femmes qui ont besoin de césariennes en bénéficient sans délai et réduire le nombre des
césariennes inutiles.
Par ailleurs, l’étude rétrospective de Ye et al[22] démontre qu’après ajustement avec les facteurs
socio-économiques, le taux de césarienne de 15% préconisé par l'OMS est approprié : au-delà de 10-15% de césariennes,
le taux de mortalité maternelle ne baisse plus, au-delà de 10% de taux de césarienne, APRES ajustement avec les facteurs
socio-économiques, le taux de mortalité néonatale et le taux de mortalité infantile ne baissent plus.
Ainsi, selon le rapport européen sur la santé périnatale de 2010[23] et
le dossier de presse
d'Euro-Peristat et de l'Inserm, le ratio de mortalité maternelle calculé à partir des statistiques de routine sur
les causes de décès pour la période 2006-2010 est de 8,4 pour 100 000 naissances en France (autour de 8 pour 100 000
naissances en Belgique). Le taux de mortalité maternelle en France se stabilise. En parallèle, le
rapport[23] montre que le taux de mortalité néonatale (décès dans les 27 premiers
jours après la naissance) est de 2,3 pour 1 000 naissances vivantes en France, la Belgique présente un taux allant de
2,1 à 2,7 pour 1000 naissances selon les régions alors que les taux varient de 1,2 à 5,5 en Europe (à noter qu'il existe
des manquements et des disparités dans les traitements statistiques de chaque pays).
Notons que la Finlande a un taux de césarienne de 15,8% (2013, [24]) et son taux de mortalité
maternelle est estimé autour de 3,4 pour 100 000 naissances[25]. En Suède, le taux de césarienne
est estimé à 16,4% (2013, [24]), et le taux de mortalité maternelle est situé autour de 3,5 pour
100 000 naissances (2012, [26]). En outre, ces deux pays présentent des taux de mortalité néonatale
respectivement de 1,1 et 1,7 pour 1 000 naissances (2013, [27]).
Bien que la césarienne soit aujourd’hui un mode de naissance très répandu, accoucher de cette manière n’est pas anodin.
Cette intervention n’a pas uniquement pour conséquence la naissance d’un enfant mais a également une influence sur l’avenir
obstétrical de la femme et sur ses grossesses et accouchements suivants.
Les articles suivants présentent quelques réflexions sur l'évolution du taux de césariennes en France :
Sujet fréquemment mis sous les projecteurs, la césarienne sur demande maternelle
n'a jamais fait l'objet d'étude chiffrée : il est pour l'heure impossible de préciser si cette demande a un quelconque impact sur le taux de
césarienne.
- Bibliographie :
- Michel Odent (2005), Césariennes, questions, effets, enjeux, Ed Souffle D'or. 284058283X
- Références :
- [1] Enquête nationale périnatale 1995 - texte complet
- M. Wcislo, B. Blondel.
Enquête nationale périnatale. 1995.
- [2] Enquête nationale périnatale 1998 - texte complet
- B. Blondel, J. Norton, C. du Mazaubrun, G. Breart. Enquête nationale périnatale. 2000.
- [3] La situation périnatale en France en 1998. - texte complet
- G. Badeyan, M Wcislo, E. Bussière, A. Lordier, N. Matet.
La situation périnatale en France en 1998 : Premiers résultats de l'Enquête nationale périnatale.
Drees Etudes et Resultats. 2000 Jul; 73.
- [4] DREES - La situation périnatale en France en 2003 - texte complet
- A. Vilain, C. de Peretti, J-B. Herbet, B.Blondel.
La situation périnatale en France en 2003. Premiers résultats de l'Enquête nationale périnatale.
Drees Etudes et Resultats. 2005 Mar; 383.
- [5] Enquête nationale périnatale 2003 - texte complet
- B. Blondel, K. Supernant, C. du Mazaubrun, G. Breart.
Enquête Nationale Périnatale 2003. Situation en 2003 et evolution depuis 1998.
2005.
- [6] Enquête nationale périnatale 2010 - texte complet
- B. Blondel, M. Kermarrec.
Enquête Nationale Périnatale 2010, Tableaux de chiffres.Les naissances en 2010 et leur évolution depuis 2003. Mai 2011
- [7] Les établissements de Santé - Edition 2016 - texte complet
- La naissance : caractéristiques 28 des accouchements - Juillet 2017
- [8] Statistiques du PMSI - MCO (médecine, chirurgie, obstétrique)- accès par GHM (groupes homogènes de malades)
- http://www.atih.sante.fr/statistiques-par-ghm-0
- [9] Données épidémiologiques générales liées à la grossesse - texte complet
- Haute Autorité de Santé. Données épidémiologiques générales liées à la grossesse (2012)
- [10] Scope Santé
- http://www.scopesante.fr/#/
- [11] Indication de la césarienne programmées à terme - Argumentaire - texte complet
- Haute Autorité de Santé. Indication de la césarienne programmées à terme (2012)
- [12] DREES - La pratique des césariennes 1998-2001. - texte complet
- D. Baubeau, G. Buisson.
DREES - La pratique des césariennes : évolution et variabilité entre 1998 et 2001.
Drees Etudes et Resultats. 2003 Dec; 275.
- [13] CNGOF RPC utérus cicatriciel, 2012 - texte complet
- Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français. Recommandations pour la pratique clinique : Accouchement en cas d’utérus cicatriciel (2012)
- [14] Etude sur les césariennes - texte complet
- Fédération Hospitalière de France
- [15] Indication de la césarienne programmées à terme - texte complet
- Haute Autorité de Santé. Indication de la césarienne programmées à terme (2012)
- [16] Observatoire mondial de la santé - texte complet
- Base de données de l'Observatoire mondial de la santé
- [17] Statistique de l'OCDE sur la santé 2016 - texte complet
- Organisation de coopération et de développement économiques. 30 juin 2016.
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- Organisation de coopération et de développement économiques - Panorama de la santé. 2013.
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- [22] Searching for the Optimal Rate of Medically Necessary Cesarean Delivery - texte complet
- J. Ye, A.P. Betran, M. Guerrero Vela, J.P. Souza and J. Zhang, BIRTH 41:3 September 2014
- [23] Rapport européen sur la santé périnatale 2010 - texte complet
- by the EURO-PERISTAT project.EUROPEAN PERINATAL HEALTH REPORT. 2010
- [24] Panorama de la santé 2015 - texte complet
- Organisation de coopération et de développement économiques - Panorama de la santé. 2015.
- [25] Statistiques de l'OCDE sur la santé 2015 - texte complet
- Organisation de coopération et de développement économiques - Statistiques de l'OCDE sur la santé 2015.
- [26] Statistiques de l'OCDE sur la santé 2014 - texte complet
- Statistiques de l'OCDE sur la santé 2014 - Données fréquemment demandées. 2014.
- [27] Etat de santé - texte complet
- Organisation de coopération et de développement économiques - Statistiques.
- [28] Potential avoidability of planned cesarean sections in a French national database - texte complet
- Coulm B et coll. Acta Obstet Gynecol Scand., 2014. Publication avancée en ligne le 9 juin. doi: 10.1111/aogs.12439
Page mise à jour en
novembre 2015.
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